Veuillez sélectionner votre lieu de livraison

Le choix du site pays peut avoir un effet sur différents facteurs tels que le prix, les options de livraison et la disponibilité des produits.
Mon interlocuteur
Sélectionner un département

Indiquez-nous votre code postal, et nous vous dirons aussitôt lequel de nos collaborateurs pourra vous aider.

CH(FR)
Pour la collecte des débris spatiaux
dryspin® dans une fusée
Demander un échantillon gratuit

Données techniques :

  • Solution requise : un module fusée qui collecte les débris spatiaux dans l'orbite terrestre
  • Exigences : couple élevé, faible vitesse, faible frottement et faible usure, fabrication rapide et économique, faible poids, compacité
  • Produits utilisés : vis dryspin® en inox, écrou imprimé en iglidur® J260, moteur pas à pas NEMA 11, tribo-ruban
  • Avantage pour le client :  Lars Flemnitz, étudiant en électrotechnique et instigateur du projet UB-Space : « Nous avons essayé plusieurs systèmes d'entraînement. Ce sont deux entraînements à vis utilisés en parallèle qui ont le mieux fonctionné ici. »
UB-Space

Chute libre dans l'espace avec des éléments d'entraînement igus

Des étudiants mettent au point une expérience pour la fusée-sonde REXUS 21

Plus de 30 000 objets considérés comme débris spatiaux se déplacent dans l'orbite terrestre et représentent un risque pour les satellites. Dans le cadre du projet UB-Space, six étudiants de l'université de Brême et de l'institut d'enseignement supérieur de Brême rassemblent les conditions nécessaires pour pouvoir récupérer ces déchets. Ils envoient même un module fusée dans l'espace. Avec, à bord, des éléments d'entraînement et de glissement igus.

Plus de 1 000 satellites gravitent autour de notre planète afin d'assurer une bonne réception télévisuelle et d'emmener les automobilistes à bon port grâce au signal GPS. Des vols spatiaux habités et non habités étant effectués depuis des décennies, ce sont maintenant plus de 30 000 objets considérés comme « débris spatiaux » qui gravitent dans l'orbite terrestre. Ces objets constituent un risque pour les satellites actifs car les débris se déplacent à une vitesse moyenne de 25 000 km/h et dégageraient une énergie destructrice non négligeable en cas d'impact.

Récupérer les débris spatiaux, une tâche d'envergure

La recherche spatiale se penche déjà sur la manière de « récupérer » ces débris et de s'en débarrasser. Pour pouvoir les récupérer, il convient tout d'abord de savoir comment ils se déplacent dans l'espace.

C'est cette question que traite le projet UB-Space créé par six étudiants en différentes disciplines de l'université de Brême en Allemagne. Maren Hülsmann, la responsable de l'équipe : « Jusqu'à présent, il était bien possible de faire accoster deux modules quand ils communiquaient l'un avec l'autre. Mais les débris spatiaux sont ce que l'on appelle des « objets non coopératifs » qu'un vaisseau spatial reconnaît et dont il doit s'approcher pour les saisir. » 

Il faut pour cela des calculs mathématiques complexes (Maren Hülsmann et sa collègue Amina Zaghdane étudient les mathématiques techniques) mais il faut aussi collecter des valeurs de référence et des données de tests. C'est ce à quoi s'attache UB-Space.
UB-Space
UB-Space

Dans l'espace avec une fusée-sonde

C'est grâce au programme germano-suédois REXUS/BEXUS que six étudiants peuvent procéder à une expérience spatiale réelle et complexe. Ces abréviations renvoient à « Rocket Experiments for University Students » et « Balloon Experiments for University Students ». Des équipes d'étudiants peuvent y soumettre des projets de recherche. Un jury examine les dossiers et en retient quatre par cycle de projets, quatre équipes pouvant ainsi d'une certaine manière disposer d'une partie de fusée pour pouvoir procéder à leur expérience. Les quatre modules sont hébergés dans une fusée-sonde qui est lancée une fois par an dans l'espace à partir de la base de lancement de Kiruna, dans le nord de la Suède.
 
L'idée d'UB-Space est la suivante : Le module de fusée relâche un objet à tester dans la thermosphère et enregistre la position et le mouvement de ce « free falling unit » à l'aide de capteurs et de plusieurs caméras. Maren Hülsmann : « Nous obtenons des photos et des données de positionnement du mouvement vraiment effectué par la FFU dans l'espace. Jusqu'à présent, nous ne disposions que de simulations du mouvement de pièces dans l'espace. »

Des calculs complexes sont de nouveau requis lors de l'évaluation de l'expérience, chaque fusée tournant constamment sur son propre axe afin de compenser les déséquilibres.

Des constructions destinées à des conditions particulières

Les équipes participant aux projets ont beaucoup à faire pendant les douze mois précédant le lancement. Chez UB-Space, c'est le cas notamment d'Oliver Dorn, qui étudie la technique nautique et est chargé de l'étude de la partie mécanique du module. Il doit se plier à des restrictions propres à l'espace : « La consommation d'énergie est limitée par le système, de même que le poids et l'espace de montage, et des températures atteignant les 200 °C sont générées par le frottement de l'air. » Comment, dans de telles conditions, concevoir l'entraînement qui va propulser l'objet à tester hors de la fusée ? Les étudiants sont relativement rapidement parvenus à la conclusion qu'il faudrait tout d'abord actionner une trappe dans la fusée. Une unité renfermant la « free falling unit » sort ensuite. Lars Flemnitz, étudiant en électrotechnique et instigateur du projet UB-Space : « Nous avons essayé plusieurs systèmes d'entraînement. Ce sont deux entraînements à vis utilisés en parallèle qui ont le mieux fonctionné ici. »
UB-Space
UB-Space

Entraînement et support signés igus

Les entraînements à vis viennent de la gamme igus drylin. Les vis en inox effectuent une course de 150 millimètres pour l'expulsion. Elles sont entraînées par un moteur pas à pas NEMA 11 qui a un couple élevé et une faible vitesse (3 cm/s). Le support dans lequel se trouve la FFU est fixé à un écrou imprimé en tribofilament iglidur J260. Il s'agit de l'un des six filaments proposés par igus pour l'impression 3D. Tous les filaments sont optimisés en terme de frottement et d'usure et permettent de fabriquer rapidement et à moindres coûts des pièces spéciales, même de forme compliquée, pour prototypes et petites séries. Même chose pour d'autres composants du support qu'UB-Space a commandés à igus.
 
Un composant à peine visible qui joue ici un rôle décisif vient aussi du système modulaire igus. Oliver Dorn : « L'objet de test (FFU) est placé dans un logement recouvert 
de tribo-ruban. » Ce film en iglidur a un très faible coefficient de frottement et est relativement nouveau dans la gamme igus. Il veille à ce que l'objet glisse du support et s'éloigne de la fusée après que la trappe s'est ouverte et que l'entraînement est sorti.
 

Des tests complets avant le lancement

Toutes les expériences REXUS doivent se plier aux mêmes procédures de tests et de réception complexes que celles exigées en aéronautique scientifique et commerciale selon les normes de l'ESA. Le module fusée d'UB-Space vient par exemple de passer des tests de vibration et d'accélération avec 12 g sur trois axes.
 
Ces procédures complexes s'expliquent par le fait qu'il n'y a pas de lancement d'essai ni de prototype en aéronautique. L'expérience doit réussir lors du premier et unique lancement. Mais l'équipe UB-Space est optimiste, un optimisme partagé par les ingénieurs de tests professionnels qui suivent constamment le projet.

Il va de soi que l'on a veillé à ce que la fusée REXUS avec l'expérience UB-Space à bord ne devienne pas elle-même un débris spatial. Après un vol parabolique avec un sommet à 90 kilomètres qui l'amène dans la thermosphère après traversée des trois couches de l'atmosphère, la fusée atterrit de nouveau dans le nord de la Suède. Commence alors l'évaluation des données collectées par UB-Space pendant le voyage.
UB-Space

Produits utilisés

Vis à pas fileté

Vis à pas fileté
► Boutique en ligne

Ecrou fileté imprimé

Écrou
► Boutique en ligne


Moteurs pas à pas NEMA17

Moteurs pas à pas
► Boutique en ligne


Tribo-ruban

Tribo-ruban
► Boutique en ligne

Vous avez des questions sur les entraînement à vis drylin® ?

Notre spécialiste Thorben Hendricks répond à toutes vos questions sur les entraînements à vis drylin. Remplissez le formulaire de prise de contact et nous nous penchons sur votre problème. Nous serons très heureux d'y répondre.

► Demande de prise de contact en ligne
► Prise de rendez-vous
► Assistance d'un spécialiste au téléphone ou par tchat vidéo
► Demande d'échantillon
 
Demander l'assistance d'un spécialiste

Commander en ligne :

Remplisseuse

Configurer un entraînement à vis :

Remplisseuse

Améliorer la technicité et baisser les coûts :

Améliorer la technicité, baisser les coûts



Les termes "Apiro", "AutoChain", "CFRIP", "chainflex", "chainge", "chains for cranes", "ConProtect", "cradle-chain", "CTD", "drygear", "drylin", "dryspin", "dry-tech", "dryway", "easy chain", "e-chain", "e-chain systems", "e-ketten", "e-kettensysteme", "e-loop", "energy chain", "energy chain systems", "enjoyneering", "e-skin", "e-spool", "fixflex", "flizz", "i.Cee", "ibow", "igear", "iglidur", "igubal", "igumid", "igus", "igus improves what moves", "igus:bike", "igusGO", "igutex", "iguverse", "iguversum", "kineKIT", "kopla", "manus", "motion plastics", "motion polymers", "motionary", "plastics for longer life", "print2mold", "Rawbot", "RBTX", "readycable", "readychain", "ReBeL", "ReCyycle", "reguse", "robolink", "Rohbot", "savfe", "speedigus", "superwise", "take the dryway", "tribofilament", "triflex", "twisterchain", "when it moves, igus improves", "xirodur", "xiros" and "yes" sont des marques protégées de la société igus® en République fédérale d'Allemagne et le cas échéant à niveau international. Il s'agit ici d'une liste non exhaustive de marques (demandes de marques en cours ou marques déposées par exemple) de la société igus ou de sociétés affiliées à igus en Allemagne, dans l'Union européenne, aux États-Unis et/ou dans d'autres pays ou juridictions.

La société igus® GmbH signale qu'elle ne vend pas de produits des sociétés Allen Bradley, B&R, Baumüller, Beckhoff, Lahr, Control Techniques, Danaher Motion, ELAU, FAGOR, FANUC, Festo, Heidenhain, Jetter, Lenze, LinMot, LTi DRiVES, Mitsubishi, NUM, Parker, Bosch Rexroth, SEW, Siemens, Stöber ni de tous les autres fabricants d'entraînements indiqués sur ce site Web. Les produits proposés par igus® sont des produits de la société igus® GmbH